VIDEO MILITAIRE DECLASSIFIEE

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GO FAST est la dernière des trois vidéos officielles sélectionnées pour être publiées par "To The Stars Academy of Arts & Science". Ils ont été les premiers à en obtenir une copie, mais la vidéo devrait prochainement être accessible à tous les membres de la presse ou au public via la Freedom of Information Act. 

Ces images ont été capturées par un Super Hornet F/A-18 de l’US Navy qui était doté de l' ATFOIR ( Advanced Forwarding Looking Infrared ) AN / ASQ-228 qui est un module de ciblage électro-optique multicapteur comprenant une caméra thermographique, une caméra de télévision à faible luminosité, un télémètre/laser et un laser tracker développé et fabriqué par Raytheon.

Go Fast révèle une rencontre navale non divulguée au large de la côte est des États-Unis en 2015 et l'objet en vue reste non identifié.

Découvrez dans cette vidéo l'analyse de ce qui est observé dans « Go Fast » par l’équipe d'experts de « To The Stars Academy of Arts & Science ».

Rappelons que l'Académie To The Stars a pour mission de soutenir des domaines de recherche qui pourraient permettre une meilleure compréhension des anomalies scientifiques et des découvertes révolutionnaires en technologie.
Un ovni aurait défié les lois de la physique devant plusieurs pilotes de F-18 et filmé le 14 novembre 2004 depuis le porte-avions USS Nimitz.



Voici la retranscription d’un extrait des déclarations de Christopher Mellon dans un article du WashingtonPost :

(Rappelons que Mellon a servi pendant près de 20 ans au sein du gouvernement fédéral américain, notamment à la sécurité nationale sous les présidents Bill Clinton et George W. Bush. Il fut également sous-secrétaire adjoint à la défense des renseignements des États-Unis puis plus tard aux opérations de sécurité et d'information.)

Est-il possible que l'Amérique ait été technologiquement dépassée par la Russie ou la Chine ?
Ou, comme beaucoup de gens se le sont demandé après la première publication des vidéos par le New York Times en décembre 2017, pourrait-il s’agir d’une preuve de l’existence d’une civilisation extraterrestre ?

Malheureusement, nous n'en avons aucune idée, car nous ne cherchons même pas de réponses.

J'ai été sous-secrétaire adjoint à la défense des renseignements pour les administrations Clinton et George W. Bush ainsi que directeur du personnel du Comité sénatorial des renseignements et j’ai entretenu de nombreuses discussions avec les responsables du Pentagone au cours des deux dernières années. On sait aujourd’hui que les ministères et organismes militaires traitent ces questions. Luis Elizondo, l’un de mes collègues de l'Académie To The Stars, dirigeait un programme de renseignement du Pentagone qui examinait des preuves d'aéronefs « non conventionnels », avant de démissionner l'automne dernier.

Pendant ce temps, les rapports des différents services et agences restent largement ignorés et non évalués à l'intérieur de leurs cloisonnements bureaucratiques respectifs. Il n'y a pas de processus du Pentagone pour synthétiser toutes les observations de l'armée. L'approche actuelle équivaut à ce que l'armée mène une recherche sous-marine, mais sans la marine. Cela rappelle aussi les efforts antiterroristes de la CIA et du FBI avant le 11 septembre 2001, lorsque chacun possédait des informations sur les pirates de l'air qu'ils gardaient pour eux-mêmes.

(Un porte-parole du Pentagone n'a pas répondu aux demandes du Washington Post pour commenter ces événements, mais en décembre, l'armée a confirmé l'existence d'un programme d'enquête sur les ovnis et a déclaré qu'elle avait cessé de financer ses recherches en 2012.)

Le personnel militaire qui fait face à ces phénomènes relate des histoires remarquables. Par exemple, en novembre 2004, l'USS Princeton, un croiseur de missiles guidés utilisant un radar naval avancé, a repéré à plusieurs reprises des aéronefs non identifiés opérant autour du groupement tactique Nimitz au large des côtes de San Diego. Dans certains cas, selon des rapports d'incidents et des entrevues avec du personnel militaire, ces véhicules non identifiés descendaient d'altitudes supérieures à 60 000 pieds et pouvant même atteindre des vitesses supersoniques, pour s'arrêter soudainement et planer aussi bas que 50 pieds au-dessus de l'océan. Les États-Unis ne possèdent rien qui soit capable de réaliser de tels exploits.

À deux reprises au moins, les chasseurs F-18 ont été guidés pour intercepter ces véhicules et ont pu vérifier leur emplacement, leur apparence et leurs performances. Ces rencontres se sont notamment produites en plein jour et ont été surveillées indépendamment par des radars à bord de plusieurs navires et avions. Selon les aviateurs de la marine avec qui j’ai longuement discuté, les véhicules mesuraient environ 45 pieds de long et étaient blancs…

Grâce à mon travail avec To the Stars Academy, qui cherche à lever des fonds privés pour enquêter sur des incidents comme par exemple le Nimitz en 2004, je sais que des faits similaires continuent de se produire parce que nous sommes contactés par des militaires préoccupés par la sécurité nationale et frustrée par Le Département de la Défense qui gère ces rapports.

En tant qu'ancien fonctionnaire du renseignement du Pentagone et consultant, j'ai rencontré à plusieurs reprises des hauts fonctionnaires du Pentagone qui m’ont rapporté des cas similaires. Mais personne ne veut devenir "le Monsieur alien" de la bureaucratie de la sécurité nationale ; personne ne veut être ridiculisé ou mis sur la touche du fait d’avoir attiré l'attention sur ce phénomène.

Si l'origine de ces avions demeure un mystère, l’immobilisme du gouvernement des États-Unis face à de telles preuves l'est aussi. Il y a soixante ans, lorsque l'Union soviétique a mis en orbite le premier satellite artificiel, les Américains ont été terrifiés à l'idée d'être surpassés technologiquement par un dangereux rival et leur fureur contre Spoutnik a fini par engendrer une course à l'espace. Les Américains ont répondu vigoureusement, et un peu plus d'une décennie plus tard, Neil Armstrong a mis le pied sur la lune. Si ces engins signifient que la Russie, la Chine ou une autre nation cache une étonnante avancée technologique pour étendre tranquillement son avance, nous devrions sûrement réagir comme nous l'avons fait à l'époque.

Les médias se sont récemment focalisés sur la somme de 22 millions de dollars supposément allouée à Bigelow Aerospace, un entrepreneur ayant des liens avec l'ancien leader démocrate du Sénat, Harry Reid (Nevada). L'argent a surtout financé les recherches de cet entrepreneur, sans la participation de la Force aérienne, du NORAD ou d'autres organisations militaires clés.

Il est temps de mettre de côté les tabous concernant les «ovnis» et d'écouter plutôt nos pilotes et nos opérateurs radar.

Les fonds existants et alloués aux différents budgets couvriraient facilement les examens d’incidents liés aux ovnis. Pour progresser dans ces recherches, la tâche doit être confiée à un fonctionnaire ayant le pouvoir d'imposer la collaboration entre des bureaucraties de la sécurité nationale disparates et souvent querelleuses. Il serait souhaitable d’avoir à disposition des analystes capables de passer en revue des données satellitaires infrarouges, des bases de données radar du NORAD, et des rapports sur les signaux et l'intelligence humaine. Le Congrès devrait exiger une étude de toutes les sources par le secrétaire à la Défense tout en encourageant la recherche sur de nouvelles formes de propulsion qui pourraient expliquer comment ces véhicules sont capables d’atteindre une puissance et une manœuvrabilité aussi extraordinaires.

Comme pour Spoutnik, les implications de ces incidents pour la sécurité nationale sont préoccupantes - mais les opportunités scientifiques sont palpitantes. Qui sait quels dangers nous pourrions éviter ou quelles opportunités nous pourrions identifier si nous analysions convenablement toutes les données ?

http://ovnis-direct.com/declassification-dune-video-dovni-filmee-par-des-militaires-5568.html#2tbDUGZw

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